Deux policiers qui intervenaient dimanche soir dans une cité à Arles (Bouches-du-Rhônes) ont été blessés dans un «guet-apens» monté par une cinquantaine de jeunes, et leur véhicule a ensuite été incendié. Une première intervention a eu lieu vers 22 heures dans la cité Barriol, où un premier véhicule, appartenant à un particulier, avait été incendié.
Sur place, des policiers de la brigade anticriminalité (Bac) venus en renfort de membres de police-secours croisent un véhicule ««suspect» et identifient son propriétaire comme étant un jeune homme frappé par une interdiction de séjour à Arles, pour des faits de vol aggravé, enlèvement et séquestration et extorsion, précise une source policière.
Ces policiers de la Bac sont alors «violemment pris à partie par une trentaine de personnes» et subissent «de nombreux jets de projectiles» lorsqu’ils procèdent à l’interpellation de cette première personne. Encerclés, ils parviennent à se dégager en tirant avec leur flashball et grâce à l’appui d’une brigade canine.
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Conseils de lecture :
Trois choses :
1) pourquoi met-on guet-apens entre guillemets : s’agit-il d’un guet-apens qui mérite ce nom ou d’un minable « guet-apens » qui ne mérite pas vraiment ce nom ?
2) je sais qu’en France on ne fait surtout pas de statistiques selon les « races » et les « ethnies », mais en l’occurrence il serait bon, sain et grandement informatif d’indiquer de quelles « races » ou de quelles « ethnies » étaient les assaillants des policiers,
3) en France, le mot d’ordre est « pas d’amalgame », et là on amalgame « jeunes » et « voyous ». Pourquoi n’avoir pas écrit « un guet-apens» monté par une cinquantaine de voyous », ou, si cela écrase trop la pointe du stylo, « jeunes voyous » (ce qui fait « moins violent » pour ces pauvres chéris) ?